cpourlavie

Ce Post ne va pas être encore une fois un article rigolo. Mais c'est ma vie et je ne suis pas en pleine forme tout les jours. Un homme a abimé ma vie, je dis abimé et non pas bousillé car je ne veux pas qu'il croit qu'il a gagné. Cet homme j'en ai parlé dans l'article "première fois premiers émois...".

Cette relation malheureusement ne s'est pas arrêter à cette fois. Rappelez vous j'avais 14 ans, elle a duré jusqu'à mes 18 ans. Je sais que cela peut être difficilement compréhensible, et je n'ai commencé à le comprendre que récemment. Je vais tenter de vous expliquer.

Cet homme appelons le Connard, est quelqu'un de très érudit, il impressionne son monde et tout le monde l'écoute, car il est trés cultivé. De plus cet homme est riche également. Ces points déjà m'attirés car j'ai toujours étais interressé par la culture et les personnes intelligentes.
Mais la façon qu'il a utilisé pour m'enchainer complétement à lui est la suivante. Il m'a un jour annoncé à mes 15 ans que je lui avais sauvé la vie, car avant de me rencontrer il comptait se suicider. Je me suis donc retrouvé avec ce poids sur la tête. TomTom si tu refuses quoi que ce soit, si tu t'enfuis, tu auras la mort d'un homme sur la concience. Bien joué non?

A partir de ce moment là, il savait qu'il avait gagné et en a bien profiter. Je sais que ce n'est pas de très bon goùt de vous conter cela ici, mais cela me fait du bien car je l'expulse de mon cerveau, du moins j'essaie.

Au début ses pratiques étaient plutôt soft, branlette mutuelle, fellation mutuelle, puis il a pris gout à la sodomie,et voulait m'enculer à chaque fois. Il l'a fait souvent et de manière barbare, il avait en plus ce qui n'arrange rien un sexe enorme, j'ai eu mal au cul souvent.

Il m'a filmé, il a jouit sur mon visage, il m'a obligé à l'avaler....
Le pire pour moi, il m'a attaché une aprés midi entière, sur une planche, bras et jambes écartées. Il me branlait fort pendant 5 minutes et arreter avant que je jouisse, puis recommencer une demi heure plus tard. Il m'enfonçait toutes sortes de choses dans le cul et revenait  me branler. Cette journée fut terrible mais je ne pouvais partir, il se serait tué. Que j'étais con, j'aurai aimé qu'il se tue.

J'arrête là pour cette fois là, je suis un peu plus appaisé.
Encore une fois escusez moi de vous faire lire de telles horreurs, 
Vos commentaires sont les bienvenus et font partie de cette thérapie que je m'impose.

Bises à vous