cpourlavie

C'est en discutant avec une formidable lectrice, que j'ai eu l'idée de cet article. Cochonne drôle de terme non?

Vous commencez à connaitre mon amour pour les femmes alors je vous rassure. Dans ma bouche (le terme pas les femmes) cela n'a pas de connotation négative.

Les femmes cochonnes sont celles qui à un moment donné et bien excitée sont capables de se donner complétement à leur partenaire de l'instant. Il n'est pas facile, je crois de se libérer complétement et de se donner totalement, il faut une bonne connaissance de l'autre mais surtout une confiance totale en lui.

Je taquine régulièrement Juliette en lui disant qu'elle est une vraie petite cochonne. Elle me sourit génée, mais ne me contredit pas. Je me suis rendu compte au bout de quelques moi de vie commune que Juliette était en effet une cochonne, prète à tout pour obtenir le meilleur plaisir qu'il soit.

La semaine dernière je m'en suis rendu compte encore un peu plus. J'étais tranquillement assis sur notre lit à lire un roman pendant que Juliette prenait sa douche. J'étais simplement vétu d'un shorty blanc.
Juliette sors de la douche en peignoir et je ne peux m'empécher de la regarder, se coiffer dans la chambre.
Elle me demande ce que je regarde comme cela, et je lui réponds que c'est elle que je regarde, que je la trouve très sensuelle. Elle ouvre son peignoir et me demande si de la voir comme cela me plait. Comme réponse, je lui montre la bosse qui se forme dans mon caleçon. Elle regarde en passant ses lèvres sur la bouche.
Puis elle me demande de m'assoir au bord du lit. Elle s'agenouille devant moi et enlève mon shorty, mon sexe est fièrement dressé devant elle. Une perle de désir en fait même apparition à son sommet.
Elle la prend dans la main et se fait toute douce. Elle fait glisser, sa main de haut en bas lentement et me regarde dans les yeux. Je vois à son regard qu'elle est excitée.
Elle se penche maintenant dessus et lui fait de petits bisous. Puis sa langue prend la place de sa main, elle la lèche de haut en bas, ne s'arrétant que sur mes couilles qu'elle mordille doucement.
J'en suis tout secoué, elle prend son temps et cherche à me rendre fou. Enfin elle la prend entière en bouche, elle semble avoir décidé de ne pas se servir de ces mains. Elle fait des vas et viens en serrant assez fort ma bite avec sa bouche, elle s'y prend tellement bien que de la salive coule au coin de ses lèvres. Cela ne la gène pas et continue. C'est bon je vous l'assure. J'en profite c'est vrai.
Mais voila qu'elle s'immobilise, je suis pétrifié, aurait elle peur d'aller trop loin? Mais elle ne retire pas sa bouche de mon sexe, elle ne bouge plus tout simplement. Je decide donc moi de bouger et je me soulève avec les mains pour faire aller et venir mon sexe dans sa bouche. C'est ce qu'elle voulait, je le vois, je le sens. Je fais l'amour à sa bouche de façon de plus en plus ferme, et elle se laisse faire.
Je me penche un peu pour regarder son corps que j'adore et je la surpends deux doigts dans la chatte, elle se donne du plaisir tout en m'en donnant. Je vois ces doigts rentrés et ressortir de son sexe, ils sont luisant de mouille. J'adore.


Je veux ce sexe sur ma bouche, je lui dis, mais refuse. Elle veut me sucer comme une cochonne qu'elle est.
Ces paroles me font un effet de dingue. Je me donne complétement dans sa bouche et lui demande si elle aime cela cette petite cochonne, elle me dit que oui et se branle de plus en plus vite. Je n'en peux plus, je suis terriblement excité. Sans la prevenir, je me lève et la mets à quatre pattes par terre. Je la prends en levrette comme deux cochons que nous sommes. Mes coups de reins sont vifs,limite violents. Je sais que je vais jouir, je passe une main sur son clito et le frotte avec énergie. Nous crions notre jouissance, nous avons du alerter tout le village. Je suis mort et Juliette aussi. 
Je m'allonge à même le sol tout contre elle, toute sauvagerie de notre part a disparu, nous nous enlaçons comme deux jeunes amoureux que nous sommes.

Voilà mesdames et messieurs,
Dites moi s'il y a des cochons et des cochonnes parmis mes lecteurs