cpourlavie

Mais non, ce n'est pas moi qui veut être une porno star. Quoique.....
En même temps j'ai l'impression qui me manquerait quelques centimetres de je ne sais quoi pour satisfaire un réalisateur lubrique.

Non, c'est ma Juliette rappelez vous qui pendant nos calins coquins de Dimanche a souhaité que je la prenne comme une star des films pour adultes.

Tout de suite pour mettre plus de poids à ses paroles, elle soulève le drap. Et à l'aide de sa bouche, elle fait en sorte que je retrouve une forme plus adaptée à nos futurs ébats.

Elle s'y prend bien ma Juliette, d'ailleurs je ne tarde pas à rebander dur. Petite nouveauté, elle met beaucoup de salive sur mon sexe, et celui ci glisse à merveille dans sa bouche. Je lui tire un peu les cheveux en arrière et à l'aide de ma main, je m'arrange pour lui faire imprimer le rythme que je souhaite. Elle ne dis rien, elle gémit.

Au bout de quelques instants et afin de ne pas entamer mes supers pouvoirs, je l'allonge sur le ventre et lui écarte les jambes. Je lui dis distinctement que sa position et je trouve trés indécente. J'en profite pour lui pénétrer le sexe d'un doigt afin de gouter son degré d'excitation. Elle est trés mouillée.

Je retire mon doigt et je me jette comme un affamé sur ses fesses. Ma langue s'active vivement entre ses fesses. Elle les remonte afin que ma langue puisse la pénétrer encore plus loin.

Elle gémit de plus belle, mes doigts carressent en même temps son bouton qui est tout gonflé.

Elle gémit encore plus fort. J'arrête. Je prends mon sexe dans ma main et vient le poser sur son petit anneau. Elle s'avance vers lui. Je ne bouge pas bien décidé à la laisser faire.  Elle s'empale littérallement sur mon sexe.

Je suis tout de suite au fond d'elle, bien serré, au chaud. Baise moi me dit elle.

Je fais de forts vas et vients, mes couilles viennent claquer sur ses fesses. Je lui giffle d'ailleurs une ou deux fois les fesses au passage.

Elle crit, elle gémit, elle se caresse en même temps. J'alterne le rythme et reste par moment tout au fond d'elle. Je n'en peux plus, elle non plus.

Je reprends une cadence plus soutenue, elle se caresse plus fortement. Je vais jouir, elle aussi. Elle part ça y est.
Je me retire et me branle sur ses fesses. De longs jets blancs ne tardent pas à apparaitre sur sa peau virginal.

J'ai la tête qui tourne, mais j'ai l'impression que je n'arreterais pas de jouir....Mais finalement si, je m'affale à côté de ma belle, essouflé et nous nous marrons comme deux collégiens qui auraient fait une connerie.