cpourlavie

Je sais pas ce qui se passe, je ne sais pas ce qui me prend, je ne sais pas. Oh rien de grave je vous sens déjà terriblement inquiet. Qu'est ce que TomTom va nous annoncer comme mauvaises nouvelles. Est ce que ce sont ces tourments qui le reprennent. Que nenni!! Rien de tout cela.

J'ai juste un petit problème actuellement, et pour tout vous dire c'est bien génant. 

A bas les mystères et venant au fait. 

Je suis tout le temps excité. Je vous vois déjà sourire, mais je pour vous assurer que ce n'est pas facile à vivre. J'ai l'impression d'être en érection tout le temps. Du lever au couché. Et malheureusement Juliette ne suis plus.

Elle a bien donné de sa personne pour calmer la bête. Mais là je crois qu'elle arrive au bout (non je ne parle pas de mon sexe là).

Un exemple. Hier soir après une journée de boulot assez intense ou je me suis démené comme un grand professionnel que je suis, je rentre à la maison.
Juliette est là, elle me sourit. Bing!! Erection. Je la prend dans mes bras, puis l'assois dans notre canapé. Tout cela sans un mot, je me demande encore si je lui ai dis bonjour. Je soulève sa jupe, retire ses collants, et je pose mon visage sur son mont de Vénus. J'hume son odeur, je respire son corps. Je revis.

Je n'en reste pas là bien sûr, je lui retire sa culotte, mais elle me dit qu'elle préfère prendre une douche avant. Elle est comme cela ma Juliette, elle aime bien faire l'amour propre. Et bien pas moi, pas là en tout cas. Je ne peut plus attendre. Je l'ai trop attendu toute la journée. Et puis moi, je l'adore son odeur à ma Juliette. 

Tout en lui maintenant fermement les cuisses écartées, je replonge mon visage contre son sexe. Elle veut faire l'amour propre ma Juliette mais ce qu'elle ne dit pas c'est qu'elle mouille déjà fortement. Plus question de faire des manières. Je lui mange le sexe comme un affamé, comme si je ne l'avais pas gouter depuis des mois.
Elle commence à se détendre, elle bascule le dos sur le canapé et pose ses mollets sur mes épaules.
Je la lappe comme un fou, je lui suce le petit bouton comme un gourmand, elle gémit, à y est j'ai gagné elle est partit.
Elle se caresse les seins pendant mon exploration, me caresse les cheveux. Elle en vient même à appuyer mon visage contre son sexe, elle veut que je sois au plus près d'elle. Pas besoin, je veux être coller à elle.

Je me retire et reprend ma respiration, pas encore prêt pour le rôle de Jacques Mayol le TomTom. J'en profite pour regarder l'objet de mon désir, il est tout luisant, de la cyprine s'échappe de son sexe et vient insidieusement se faufiler entre ses fesses.
C'est parfait pour l'acte 2. Je reprends, recolle mon visage, ouvre grand ma bouche et la lèche de bas en haut, j'approche mes mains de ses fesses. Et je la lève ainsi, son sexe en l'air, ses fesses dans mes mains, mes mouvements se font plus brusques, plus sauvages. Je la repose.
Elle me murmure qu'elle ne tient plus. Je lui réponds, jouis ma belle, jouis.

Je reprends, mes mains toujours sur ses fesses, mais au lieu de la lever, mon majeur se faufile entre ses fesses. Arrivé à son but je m'arrete. Son petit trou est tout luisant, de moi, d'elle. Je lui caresse tout en suçant son clito. Sa respiration devient difficile, je sais qu'elle veut que je lui prenne, je sais qu'elle n'osera me le demander. 
Je libère mon autre main et lui pince un téton, surprise, j'en profite pour lui pénetrer les fesses. Mon doigt, va se coller au fond d'elle. Ma bouche reprend son travail, je n'ai pas le temps de faire de va et viens dans ses fesses, elle jouit et crie mon nom, au moment des derniers spasmes, je retire mon doigt indiscret. Je regarde le visage de ma douce. Elle est belle.

Je bande toujours, je sais qu'elle ne sera pas prete à remettre cela tout de suite mais ce n'est pas grave . Le lendemain matin je me relèverais avec une encore plus grosse érection. Que je garderais toute la journée pour ma belle. Je ne sais plu être égoiste et pensé à mon plaisir.
Pas avec elle en tout cas.